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Traiter l'air des établissements de santé

Créer un environnement sain et sécurisé grâce à des solutions de traitement d’air et de fluides, pour assurer le bien-être et le confort des patients, des personnels soignants et des visiteurs.

Des environnements à protéger

De la chambre du patient au bloc opératoire, en passant par les postes de soins et les laboratoires, les infrastructures médicales sont diverses et variées. Chaque zone requiert une attention particulière en termes de qualité de l’air.

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Dans les blocs opératoires par exemple, il s’agit de prévenir les infections chirurgicales.

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Dans les laboratoires ou les pharmacies, il est nécessaire de maintenir des conditions de température et d’hygrométrie optimales afin de conserver au mieux prélèvements et traitements de toute sorte.

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Dans les chambres des patients, les EHPAD, les cliniques ou tout autre milieu lié à la santé, la qualité de l’air est fondamentale pour favoriser le confort, la récupération et le bien-être général des patients, des soignants et des visiteurs.

Ils nous font confiance

Les enjeux liés à la qualité de l’air

Le conditionnement thermique pour le secteur de la santé fait face à de nombreux défis. Parmi les défis les plus courants, on peut citer :

Prévention des infections nosocomiales

 L'air peut être un vecteur de transmission de nombreuses bactéries, virus et autres micro-organismes responsables d'infections nosocomiales. Une mauvaise qualité de l'air peut ainsi favoriser la propagation de ces infections.

Bien-être général des patients

Un air pollué peut provoquer des irritations des voies respiratoires, des allergies, de la fatigue, des maux de tête etc. Tous ces symptômes sont exacerbés chez les personnes souffrant d’asthme ou de maladies chroniques.

Protection des produits médicaux

Certains traitements et prélèvements sont sensibles à la qualité de l’air. Un air de mauvaise qualité peut altérer leur qualité et leur efficacité.

Efficacité énergétique

Pour limiter les coûts d’exploitation et respecter les normes sanitaires, grâce notamment à la récupération d’énergie ou encore à une centralisation et une régulation précise de la température et de l’hygrométrie.

Des règles à respecter en fonction du risque

La norme NF S 90-351 fixe les règles à respecter pour garantir la qualité de l'air dans les zones sensibles des établissements de santé. Elle classe ces zones en quatre catégories de risque (4, 3, 2, 1) en fonction du niveau de contamination possible.

Pour chaque projet de construction, rénovation ou modification d'un établissement de santé, le CLIN est chargé d'évaluer et de déterminer la classe de risque spécifique à chaque zone. Cette évaluation permet de définir les performances requises pour les systèmes de traitement d'air (filtration, ventilation, déshumidification etc.).

Des solutions de traitement d’air adaptées

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Qualité de l’air

Les particules en suspension dans l'air, qu'elles soient d'origine biologique (bactéries, virus) ou chimique (produits de nettoyage, médicaments), doivent être minimisées grâce notamment à des systèmes de filtration précis et de renouvellement d’air performants.

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Hygrométrie

Un taux d'humidité trop élevé favorise le développement des micro-organismes, tandis qu'un taux trop faible peut assécher les muqueuses. Des fonctionnalités d’humidification et de déshumidification peuvent donc être intégrées à nos systèmes.

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Température

Une gestion définie, précise et automatisée de la température ambiante par rapport à celle extérieure afin d’améliorer l’état de santé global des patients et du personnel soignant.

Nos solutions CVC

CAP2i propose donc des systèmes de conditionnement d’air conçus sur mesure en fonction de votre environnement. Nous concevons ensemble la solution la plus adaptée à vos besoins.

Voir nos solutions CVCarrow_right

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